À la suite d'un accident nucléaire, un enfant est atteint de leucémie.

Son père et ceux qui l'entourent décident de faire de son dernier Noël un conte de fées. Un film touchant qui traite d'un sujet universel : la maladie incurable qui frappe injustement un jeune enfant. Bourvil est majestueux dans ce rôle dramatique pourtant plus éloigné de ses traditionnelles comédies. Un scénario adroit et formidablement amené. Une pure merveille d’émotions.

Liban, dans un futur proche.

Soraya et Walid se sont construits une vie idyllique dans les montagnes, loin du désordre et de la pollution de Beyrouth. Dans ce havre de paix, trois générations coexistent en apparente harmonie : les deux filles - Rim 9 ans, Tala 17 ans - la grand-mère et les époux Badri. Tout va bien jusqu'au jour où Rim aperçoit des étrangers dans la vallée. La vie paisible de la famille est brutalement remise en question par l'installation d'une décharge prétendument écologique. Malgré la corruption ambiante qui rend leur combat sans espoir, les Badri font front. Ce chaos extérieur va bientôt avoir des répercussions sur le cocon familial...

Très belle allégorie du Liban aujourd’hui par une jeune réalisatrice prometteuse. Elle montre un Liban rongé par la corruption et par cette habitude de détruire ce qui est beau. Les personnages ont chacun une grande épaisseur et terriblement bien interprétés par des acteurs investis, comme Nadine Labaki, elle-même réalisatrice de Caramel en 2007 et Capharnaüm en 2018 entre autres.

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Lahou, Côte d'Ivoire. Aya grandit avec insouciance auprès de sa mère.

Intimement liée à son île, la jeune fille voit ses repères s'effondrer lorsqu'elle apprend que son paradis est voué à disparaître sous les eaux. Alors que les vagues menacent sa maison, Aya prend une décision : Lahou est son île, elle ne la quittera pas. Un chemin initiatique s'offre alors à elle, un chemin vers son identité, un chemin vers elle-même.
Le réalisateur, originaire de Bretagne, a une passion pour l’Afrique où il a déjà tourné et cela se ressent dans son magnifique film. Tourné en lumières naturelles, les paysages sont sublimes. Cependant il évoque une triste réalité, l’érosion inéluctable de ce paradis. Mais Marie-Josée Degny Kokora qui joue Aya impulse une belle vitalité au film avec son espièglerie et son plaisir de jouer sur son île natale.

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La vie de Telma prend un détour tragique lorsque son fils plonge dans le coma à la suite d’un accident.

Cette mère va découvrir un cahier de son adolescent où sont inscrites 10 choses à réaliser. Par amour, elle va accomplir ses plus grands rêves. Ce film pur et poétique évoque une odyssée initiatique bouleversante, riche en émotions. Un hymne à la vie rempli d’espoir et de combat.

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À 17 ans, Zahia Ziouani rêve de devenir cheffe d’orchestre.

Sa sœur jumelle, Fettouma est de son côté violoncelliste professionnelle. Bercées depuis leur plus tendre enfance par la musique symphonique classique, elles souhaitent à leur tour la rendre accessible à tous et dans tous les territoires. Elles ont créé ce projet incroyable, leur propre orchestre, Divertimento. Ce film biographique montre qu’avec courage, détermination et passion, on peut réaliser ses rêves, même en tant que femme d’origine algérienne résidant en Seine-Saint-Denis.

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Qu’a-t-on accompli durant notre vie ?

Comment imaginait-on notre vie d’adulte lorsque nous étions enfant ? Qu’est-ce qu’une vie réussie ? Quelle est la place de la famille dans tout ça ? Ces questions existentielles traversent La famille Asada, le quatrième long métrage du réalisateur japonais Ryôta Nakano. On y découvre la vie d’une famille japonaise modeste, où les rêves des uns sont mis entre parenthèses afin que les rêves des autres puissent se concrétiser. Masashi, qui est l’un des fils de la famille, est passionné par la photographie depuis son enfance. Jeune adulte, il part faire des études à Tokyo pour essayer de devenir photographe professionnel. Le fait que la photographie soit au centre du film n’est pas un hasard. Le regard et le souvenir sont deux actions qui interrogent notre identité et qui conviennent donc parfaitement ici. Tantôt drôle, tantôt émouvant, ce film inspiré de la vie du photographe japonais Masashi Asada, brosse le portrait sensible d’une famille presque ordinaire, et donne envie de faire des photos !

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